Votre histoire

Je suis toujours curieuse de savoir la vie des autres, ce qui vous est arrivé par le passé, ce qui fait qu'aujourd'hui, vous êtes ce que je suis!
Alors je commence à vous raconter ma vie, et après ce sera votre tour!

Alors, je m'appelle Rose Wheel, je suis née d'une famille modeste vivant dans un petit village au milieu de la belle province de Négaverse quand elle était encore fermée au public.
Dans la famille nous avons toujours cru à l'existence des extra-cybermondiaux, du moins, c'est ce que m'a dit ma mère.

La nuit précédant ma naissance, un de leurs vaisseaux c'est posé dans le champ à côté de chez moi. Certaines mauvaises langues disent que c'était le faisseau d'une boite de nuit. En tout cas, ce qui est sûr, c'est que mon père (qui est très/trop porté sur l'alcool) a sorti son fusil et a vidé ses munitions sur ce vaisseau!

Les Extra-cybermondiaux m'ont puni et ont utilisé leurs technologie sur ma mère qui était sur le point d'accoucher. Résultat, je suis née sans jambes. Là encore les mauvaises langues disent que c'est dû au fait que mes parents étaient frère et soeur et que le brassage génétique laissait a désirer...

J'ai passé une enfance malheureuse : j'étais intelligente et belle, brillante lors de mes études et je présentais déjà à l'époque un très fort penchant pour les Extra-cybermondiaux et pour la Recherche. Evidemment personne ne m'approchait, je faisais peur, j'étais perçue comme un robot évolué, mais pas complètement une humaine.

J'ai alors rencontré Uilleam et ensembles, nous avons créé le Soleil Bleu, l'organisation prônant l'importance de la Recherche et l'existance d'êtres Extra-Cybermondiaux. Mais il vous racontera surement son histoire personnelle si vous lui demandez.

Depuis, j'ai gravi les échellons et je suis désormais Ministre de la Recherche à Son service. Et j'ai enfin trouvé l'Amour en la personne de Tibus, mais il vous donnera sa version là encore!

Et vous?

Moi mon histoire elle un peu différente...
Un jour que la pluie s'ennuyait, elle voulut avoir un enfant, et elle jeta son dévolu sur un magnifique cocotier. Ce cocotier, avec l'aide de la pluie, fit pousser une énorme noix de coco. Quand elle tomba au sol, elle se coupa en deux et j'en suis sorti .
Je suis donc le fils de la pluie et d'un cocotier. Mais bien sur ils ne pouvaient pas m'élever, alors c'est un lutin des mers qui m'a pris en charge.
Je suis passé par la case école et j'en suis sorti presque aussi vite avec mon ruban bleu en poche. Ne sachant ou aller, j'ai pris une carte de la Seele et j'ai posé mon doigt au hasard.

Ma direction était choisie, les Monts Pourpres!
Loenis, qui y était bougmestre me proposa un poste de DdP, et très vite nous sommes devenus amis. Je suis ensuite devenu membre su Soleil Bleu. Les extra cybermondiaux ça m'intrigue...
Peu après je suis devenu parrain et gouverneur des Monts Pourpres.
Je croyais ma vie parfaite, j'avais tort...
A plusieurs reprise j'avais croisé Rose au Soleil Bleu, à plusieurs reprise je n'avais pas osé l'inviter...
Mais maintenant nous nous aimons et ma vie est vraiment parfaite.

Bien sur il y a toujours des petits problèmes de temps en temps, mais avec un sourire tout s'arrange très vite.

Ah oui j'oubliais... Maintenant jsuis un des directeurs de l'école des children, et ça, c'est ma plus grande fierté!

Bonjour a tous.
Je suis ici aujourd'hui parce que je trouve important de savoir un peu la vie des gens qui nous entour. Le mienne est la suivante.
Dans ma jeunesse, je vivais a Tokyo-3, entourée de mes parents. Puis vint la catastophe qui engendra la mort terrible de mes deux parents. Seule et abandonner de tous, je fit la rencontre un jour du grand Marcorel O'Neil qui me recceuillit et me redonna espoir. Il me raconta les aventures de sa famille. Peu de temps après il retourna dans sa ville de résidance, Poing de la Grande Déesse. Ne sachant que faire d'autre a Tokyo-3 je parti donc le rejoindre avec toute sa famille au Poing. En y arrivant je fut acceullit par cette famille qui m'aida beaucoup a m'integrer.
Après quelques temps passé la bas, je revivais enfin. j'y rencontra Junior O'Neil, fils de Yumi et Hersto O'Neil. Après un merveilleux mariage je commencais ma nouvelle vie. Je pris en premier lieu la fonction de DDP dans la ville qui me permis d'aider les habitants et d'embellir la ville que j'aimais tant. Il y a peu Junior mourut. Ce fut une véritable tragédie.
Maintenant j'ai une fille AvA O'Neil et je suis bourgmestre de Poing, de quoi me permettre d'aider les autres comme j'aime tant le faire.
Je tiens au passage a remercier toute la famille O'Neil aussi bien Yumi, Hersto, Marcorel, Merreine, que Gangster pour toute l'aide qu'ils m'ont apporter.


Laeti : j'ai ôté la couleur. D'une les couleurs servent surtout à la mise en forme des textes, de deux, le orange c'est pas super lisible sur ce fond et de trois, les couleurs, c'est pour la modération. Merci

Si vous aimez les histoires qui commencent mal, puis au milieu on se dit : "Mais alors, elle est gaie cette histoire" puis qu'en fait on voit que ce n'est qu'une illusion,alors vous allez aimer la mienne.

Je suis native du campus Solaire, mes parents m'ont conçu à l'université. Ceux-ci, selon mes dernières recherches, sont nécromanciens et démonistes. Je ne pense pas qu'ils soient convertis et encore moins qu'ils soient fanatiques. Je ne sais pour quelle raison, ils m'ont abandonnée alors que j'avais 5 ans. Mon passé est très flou et les bribes que je vous communique ne sont que le fruit de longues années de recherches aussi frénétiques que désespérées.

Je ne suis rentrée à l'école qu'assez tard. Je vivais assez isolée du monde et cette tendance à rester à l'écart peut encore se retrouver.
Très vite, je me suis mise en tête de devenir avocate.
J'avais pourtant quand même de très minces dispositions pour la magie. J'était capable de faire apparaitre une boule de feu dans ma paume mais pas de lui faire quitter celle-ci.

J'ai participé à un voyage au Paradigme, durant lequel je me suis faite aggresser par un élémental en furie alors que je n'avais rien fais de mal.
Après une autre erreur au retour, j'ai retrouvé le campus ravagé par la guerre et j'ai replongé dans une déprime qui ne m'avai[color=red]t jammais quittée avant mon entrée à l'école.
Puis vint le cataclysme... Je poursuivais mes recherches malgré tout, mettant constamment ma vie en danger. D-Rek, qui m'avait déja sauvée plusieurs fois, recommenca.
Ainsi donc quand il me retrouva, j'étais dans un état pitoyable et j'avais grandement changé.
Je suis encore en train de creuser la thèse, mais il semblerait que ce corps de rêve, qui est le mien depuis la nuit où D-Rek m'a sauvée, serait celui d'une autre personne. Ainsi donc par des causes inexpliquée, j'avais rajeuni de 15ans et je bénéficiais maintenant d'un corps magnifique... A mes goûts.

Au renouveau, l'école changea. Comme toujours, je suis une grande ennemie du changement mais je finis toujours par le trouver mieux.

Je commençais - pour mon malheur - à réfléchir et je me découvris bien seule : 1 ami... D'un moral très faible, je fais ma première tentative de suicide, râtée de peu... Certains peuvent dire que je n'aurais jammais du me louper mais je l'ai fait. Ainsi donc, après ça, je rencontrai des gens très ouvert vers qui je n'osais pas aller.

La suite de ma vie est normale...
Une autre tentative de suicide... à la bière !! Si, si !! C'est possible !!
Une rencontre merveilleuse, celle de Bwork Evangélius mon maris aujourd'hui...
Et maintenant je suis au postes de bourgmestre de Volupté que je m'apprête de à quitter pour mon accouchement...

C'est ma vie, en très résumé. Vous pouvez poser vos questions.

Ma vie n'est pas aussi palpitante que ce que vous avez du lire jusqu'a présent.

Je suis né à Tabris sous la Guidance d'Ato Backsab Nicomédia. Ma mère s'appelle Kendrak et mon père, je n'en sais rien, j'ignore qui s'est et je m'en moque un peu. J'ai passé mes classes d'initié chez les Children, au Campus Lunaire (parce qu'a l'époque, le Campus Solaire n'existait pas).

Une fois mon Ruban en poche, j'ai été contacté pour être Juge du Diocèse d'Omniscience, j'ai gravit les échelons et j'ai été tour à tour DDP et BM.
Puis je suis retourné dans ma ville natale, Tabris.
Là avec Poussin et Eracius, j'ai occupé quasiment tous les postes: DDP, Juge, BM, j'ai été commissaire quelques heures aussi. On devait protéger le Pétrole de First Dogma des envies des Giovanni. c'est la que j'ai rencontré Tany, qui allait devenir la femme de ma vie.

Quand Eracius a été Guide, les choses ont changé, j'ai mal vécu cette période et je me suis exilé volontairement en Structurie. Je remercie Lavande et Maybee de m'avoir accueillie. Durant cette période j'ai tapé un Guide (Titus) et j'ai renoncé à mon statut de prêtre.
Il y eut aussi une guerre entre le Khanat Elmerien et la République du Kraland, qui à ce moment était une vraie puissance militaire. Le conflit s'enlisait et les dirigeants du Khanat en appelèrent à l'arbitrage de la Seele: Il cédèrent la province d'Honolulu par delà à la Seele pour faire une zone tampon pendant les négociations. Maybee, Greemy et moi-même avons été dépêché la bas pour gérer la province malgré le terrorisme Kra. Je vous passe les détails qui sont encore confidentiels pour certains et sans intérêt pour d'autres mais on a remonté plus de 31000 Ny au Ministère de la Néconomie (nom de l'époque) et mis un beau bazard. J’ai même été Gouverneur 2 jour suite à une attaque brutale du général R1 et d'un paquet de coups montés.

Peu après, j'ai adopté Marilou, qui sera ma 1ere fille, et une exploratrice de talent. Alors qu'un voyage au Paradigme fut organisé (le même dont vient de parler Elwing), profitant de cette période de calme, Tany et moi somme partis en voyage de noce au Khanat voir la famille de Tany. Tout se passait bien jusqu'a ce que nous apprenions que des children avaient été maltraité à Ecrin de jade.
Mon sang n'a fait qu'un tour et j'y suis allé. Après des négociations musclées (menace d'emprisonner les children et de les convertir à la CU d'un coté, menace de génocide d'animaux brûler la province de Jade de mon coté) les choses se sont calmé. C’était un mal entendu que nous avons fini par dissiper. Alors que les childrens rentrais en bateau, je suis parti rejoindre Tany avec Marilou. C'est à ce moment que l'Elmerisme Aviaire déferla sur le monde.

Je ne comprends pas comment, mais nous avons été épargnés tous les 3 et au prix d'un périple long et difficile, nous avons regagné la structurie. Après un épisode dans les tunnels, nous sommes ressortis avec Lavande, Maybee, Elwing, P'tit Jimmy et les autres survivants et nous nous sommes attelés à la reconstruction.
Je suis devenu Sorcier, nous avons du faire face à de nombreux deuils, comme le décès de Marilou, d'une maladie foudroyante et eus de nombreuse joie, comme la naissance de Teila, ma seconde fille. J’ai occupé divers poste, en Structurie, à First Dogma, à Tokyo 3 aussi, j'ai même été Ministre de l'Intérieur.
On m'a découvert une dépendance pathologique au travail, du "Maybeeisme Chronique" (mais c'est n'importe quoi, je sais TRES BIEN)

En me relisant, je me rends compte que ma vie est bien remplie, et que j'ai pas mal vécu, mais je préfère penser que le meilleur reste à venir, sinon à quoi bon

Mon récit sera plus court...

Nés dans une famille richissime de tokyo 3, j'était déstinés a faire travaillés les autres pour moi.
Malheuresement pour mes parents je préférais aider les autres et prier pour Elle.
J'était l'antithèse de mes parents.
A 16 ans je quitte la villa familliale pour m'enfuir vers un endroit plus calme : la volupté.
Là bas j'ai fait connaissance de maximilien et de reichnou.Nous nous aidons pour devenir pretre.
Voila ma vie est pour le moment courte mais je me suis déja fait quelques amis ; bwork evangelius a qui je doit beaucoup, Shad avec qui je boit jusqu'a tomber dans le coma...
Que me reserve le futur?Eh je ne suis qu'initié!

la mienne est courte aussi
Je suis né, abandonné par mes parents que je n'ai jamais revus. J'ai trouvé une marraine qui voulait bien s'occuper de moi quand ca allait mal ou bien. Je suis un cavalier seul, je traverse les régions ... Je n'ai pas trop de charme mais je suis un bon guerrier. J'évolue normalement mais j'essai d'évoluer vite pour devenir un officier de grand grade.

Alors...Moi ze suis née quelque part en Théocraie seelienne
Tany ma maman, et D-Rek mon papa, Kendrak ma grand mère et rwen ma marraine .....heu ....ze suis devenue grande...ze jouait beaucoup et toussa... Puis Maman devait partir, et Papa, devenu Ministre, a du me quitter pour travailler a Tokyo 3 ...ze crois que z'avais 4 ans...quelque chose comme ça !
Mais papa ne m'a pas laissé seule, c'est ma nounou "Chrisitane" qui s 'est occuppée de moi...
Un jour, alors que ze me promenais dans la foret avec Christiane, Un pirate nous a attaqué et ... Christiane a rejoint notre Grande Déésse pour me protéger... m'enfin....

Puis z'ai retrouvée papa a Tokyo 3, Diocèse Tutélaire,où z'ai eu ma seconde maison ...
Un zour, ze suis rentrée à l'école et j'ai rencontrée ma grande amie Satsuki ...avec qui j'ai beaucoup jouée et z'ai appri à lire et à écrire comme une grande...tellement vite que l'on m'a très rapidement donner un Zoli Ruban en me disant que z'était surdouée ...Ze n'ai jamais compri ce que c'était ..M'enfin ....

Donc après zavoir eu mon zoli ruban, on a fait la fête et toussa (m'enfin c'a aussi c'est pas interressant) puis z'ai appris la diplomatie...et c'est comme ça que ze suis devenue diplomate....a 6 ans...

Heu...après z'ai rencontrée Ayako qui m'a proposée un travail comme les grands : Directrice De Production au diocèse de l'Omniscience, z'ai dit oui et, le temps que z'arrive...Ayako a aussi été appellée par la Grande Déésse
Puis ze suis devenue Bourgmestre et là...au zour le zour...il se passe énormément de choses....


Voilà ma vie super !!!!

Tant de cruauté sur une si jeune personne sniff.

mais qu'est ce que tu dit toi ? je m'occupe très bien de ma fille

non mais oh hein ? bon

ma chérie, t'es né à Tabris, comme moi ^^

A tabris comme toua ? cool !!!

Non mais tu sais, Père Toinou, ze suis très très heureuse comme Ze le suis !
et puis ceux et celles que z'ai perdu, ze les retrouverais un zour, près de Notre Belle et Grande Déèsse !

oui mais pas trop vite quand meme é__è

Je voulais pas te vexer D-rek c'est juste que...ben elle a pas de chance c'est tout...c'est de famille on dirait.
euh non rien .

Voici mon histoire (premier RP)


Je suis né en Théocratie-Seelinne, il y a déjà un petit moment. Je n'ai ni mère ni père, enfin je dirais plutôt que je ne les ai jamais connus. Mais malgré l'absence de mes parents, je n'étais pas seul. Cela grâce à: "l'école des children" et "Vasly du Kaiser". Ensuite arrivèrent mes premiers pas au monts pourpes qui, il faut le préciser, étaient catastrophiques. Tout d'abord, j'ai essayé de voler un cadenas (quelle manque de réfléxion) et je me suis fait frappé par des policers... Je suis tombé dans le coma et à mon reveil j'étais en prison. Au début, je me sentais mal d'être en prison et je me disais: "plus jamais tu ne volera Asgardien plus jamais!".

Mais mes deux jours passé en prison et mon dernier qui aura lieu demain, m'ont au contraire appris beaucoup de choses. Grâce à mon séjour là-bas j'ai pu observer, entre les barreaux de ma cellule, le comportement des gens dans la ville. Je pense que maintenant je pourrais adapter beaucoup plus facilement le mode de vie en Théocratie-Seelinne. Mais ce n'est pas tout, en cassant des pierres pour me distraire, j'ai entendu un garde de prison parler à son collègue.
- Eh tu as vu? Nous avons un petit nouveau!
- Ah bon?montre le moi s'il te plaît
- Le voilà! C'est ce petit qui a essayé de voler un cadenas...
- Lui là? Mais il est tout jeune...
(et les deux commençaient à rire)

Ma fierté en a pris un coup. Et c'est à ce moment la que je me suis remis en question: "Ne deverais-je pas recommencer à voler?"


...

Je suis Naro Isiowa.
Je suis né en Théocratie Seelienne, mais j’ai vécu à Goldtown dans les Caraïbes. J’ai grandi avec mon père qui est parti de Tokyo 3 après le décès de ma mère, quelques jours après ma naissance.

Je ne l’ai donc jamais connu de son vivant. Le souvenir de son visage n’existe que par l’unique photo que mon père avait d’elle. Je la porte toujours sur moi maintenant.

Pourquoi mon père est parti de son pays il y a maintenant une vingtaine d’années ? Ceci est et restera flou. Il ne m’a raconté que des bribes de son passé seelien, par honte ou par peur de quelque chose.
Ma mère était une prêtresse de la Grande Déesse et lui un médecin de quartier. Selon ses dires, ma mère était atteinte d’une maladie rare, une déformation cardiaque qui la condamnait. Mon père a été incapable de l’aider et elle s’en est allée. Se retrouvant seul avec un nouveau-né, il a préféré quitter le pays afin de se détacher de son passé. Partir pour oublier.

Il m’a élevé ces années durant, dans la province des Caraïbes. Nous n’étions pas riches, il n’est pas facile d’être un seelien en exil sur une terre inconnue. Mon père travaillait à l’hôpital de Goldtown et nous logions une petite cabane, en bordure de la ville.
Néanmoins, je n’ai manqué de rien et j’étais plutôt heureux. J’aidais mon père du mieux que je le pouvais, m’accommodant des tâches journalières afin d’apaiser sa fatigue. Mon père n’a jamais parlé de religion avec moi. Quand je posais des questions sur ma mère, il parlait de sa beauté, de sa gentillesse et de sa grande tendresse. Mais il ne parlait jamais d’elle en tant que prêtresse, toujours en tant que femme et épouse.

Je sais qu’elle m’a manqué toute mon enfance. J’ai pleuré, souvent, de ne pas pouvoir toucher son visage, de ne pas pouvoir lui parler et de me réfugier dans ses bras quand je me sentais mal.

Mon père lui aussi m’a quitté. Il voulait rejoindre ma mère depuis longtemps, je le sais. Il est resté jusqu’à ce jour uniquement pour m’élever et m’éduquer, pour me donner force et volonté dans ce monde. Sa mission accomplie, il s’est éteint, éprouvé par une vie de labeur et de souffrances.
Dans ses affaires, j’ai trouvé une lettre. Une lettre écrite il y a bien longtemps, je pense, mais qui m’était destinée.
Cette lettre m’expliquait son amour envers moi, son amour pour ma mère. Il me demandait de ne pas chercher un destin, mais de vivre selon mes pensées et mes envies. Il m’encourageait à voyager, à découvrir le monde par mes yeux et de trouver « ma voie ». Il survolait nos origines seeliennes. Je savais que je devrai à l’avenir découvrir mon peuple, mon sang.

Ce qui est étonnant, c’est cette voix que j’ai entendue le jour de la mort de mon père. Mon esprit s’est mis à tourbillonner tandis que les larmes roulaient sur mes joues. Et cette voix qui murmurait dans ma tête. Je n’ai pas saisi le sens de ses mots mais j’ai eu l’impression qu’elle m’indiquait un chemin, qu’elle aussi me forçait à partir et trouver un sens à ma vie.

C’est alors que j’ai fait mes adieux à Goldtown. J’ai visité toutes les villes des Caraïbes et j’ai entamé mon apprentissage du combat afin de ne pas être comme une proie dans ce vaste monde. J’ai visité des lieux de cultes car la religion, sujet trop tabou pendant de longues années attisait ma curiosité.
J’ai tenté des conversions sans succès, on a essayé de me convertir, toujours sans succès. Et cette voix dans ma tête qui murmurait. Je ne comprenais toujours pas le sens des mots, mais elle se faisait insistante. Je l’ai soupçonnée d’être la cause de mes échecs de conversion. Néanmoins, en parcourant temples et cathédrales, j’ai commencé à me forger une solide connaissance de la religion telle qu’on la pratique. J’ai appris comment la foi pouvait guider un bras, comment elle pouvait faire se dépasser soi même.

Parallèlement, la voie du combat me convenait. Je trouvais que le combat du soldat n’était pas si éloigné du combat de dieu, quel qu’il soit.
Malgré tout, je n’étais pas vraiment heureux. De taverne en taverne, de port en port, je me sentais perdu, seul.

Je suis parti ensuite vers Palladium City, attiré par son quartier religieux. J’ai ensuite visité tous ses quartiers. Le riche quartier commerçant, le quartier scientifique et sa rigueur monotone…J’ai déambulé dans les rues et je me suis mis à boire, par détresse.

Voyant mon état psychique se dégrader, j’ai décidé de partir de Palladium. J’ai alors pris le chemin du quartier portuaire. Malheureusement pour moi, il n’y avait plus de départ par bateau ce jour là. J’ai donc arpenté les ruelles du port à la recherche d’un toit et de nourriture.
Et je suis tombé devant un temple. Celui de la Grande Déesse. La religion de mon peuple, celle de ma mère. C’est alors que la voix dans ma tête me fit violence. Je suis tombé inconscient sur le seuil du temple.
Je me suis réveillé, quelques heures plus tard. J’étais dans le temple. Une voix douce au-dessus de moi me faisait sentir comme dans un rêve. Je reprenais mes esprits tant bien que mal. Je me suis senti chez moi dans ce temple. Au fil des jours suivants, je reprenais confiance, je devenais plus fort.

La voix dans ma tête avait complètement disparue depuis mon entrée au temple. Puis, un jour de messe, j’ai pris conscience que cette voix m’avait guidée ici. Dans ce lieu, face à la Grande Déesse. Etait ce ELLE la voix dans ma tête ? Etait ce justement mon destin que de franchir ses portes ? J’ai assisté à cette grande messe. Puis je me suis plongé dans l’étude de cette religion. J’ai plongé dans mes origines et j’ai découvert qui j’étais, qui était mon peuple, qui était ELLE.
C’est alors que j’ai décidé, car je savais que je venais de trouver une partie de moi, de me convertir, de prier pour ELLE et d’être son bras, son épée, son bouclier.

Je suis Naro Isiowa. Je suis seelien. Je prie pour ELLE, pour mon peuple et pour moi. J’ai trouvé ma voie, j’ai trouvé la force et le réconfort de l’esprit. Je peux à présent accomplir ma tâche, croire en l’avenir et devenir ce pour quoi je suis destiné.

La nuit tombait sur la baie de Central.
C’était une heure entre chiens et loup où le vent de face bastonnait les embarcations et où les chalutiers ramenaient leurs prises.
Dernier de la flottille, un petit bateau de pêche au large des côtes d’Adam voguait encore contre l’écume. De loin, le crépuscule lui dévoilait la végétation de la côte et le feu des foyers, bientôt indiscernables.
Les marins accoudés au bastingage, chiquait du tabac brun en plaisantant sur les prises que le filet de traîne ramènerait bientôt.

C’est alors que l’un d’eux remarqua quelque chose.

Au gré des lames de fonds flottait un corps inerte, ventre en l’air.

Les hommes, doués au filet, s’empressèrent de le remonter à bords pour détrousser ce qui s’avérait être un cadavre sans vie portant d’étranges atours.

Les marins s’emparèrent de la longue veste rouge du cadavre, ayant vérifié qu’il ne respirait plus plongé dans cette eau glacée. L’un des pêcheurs, plus gourmand, constata que sa trouvaille portait un costume de soie noire, encore en bon état.

En voulant lui ôter sa chemise, le voleur se fit soudain briser le visage par le poing du cadavre qui vomit toute l’eau de mer de ses poumons avant de bastonner sauvagement les voleurs.

Miséricorde ! Qui est tu, cadavre ? supplièrent les manants. Un démon de l’océan ? Tu dévores l’âme des pêcheurs ? Ai pitié de nous !

Le cadavre, récupéra son manteau, s’assis trempé sur un coin du pont et se contenta d’observer les pêcheurs, tremblant de peur, terrés le plus loin possible. Son teint blanc lui donnait l’air d’un fantôme revenu de l’eau delà. Ses cheveux blanc et longs tombaient sur ses larges épaules.

Quelques minutes s’écoulèrent, angoissantes…

Ne nous vole pas nos âmes ! continuaient de supplier les pêcheurs tandis que le mort se leva soudain et défonça la porte des cabines. Découvrant les provisions des marins, celui-ci les engloutit avec un cubi de bière.

Quel jour sommes nous, Quelle année ? gronda le mort en empoignant finalement une de ses victimes.

Les autres lui répondirent.

Où suis-je ?Et qui êtes vous ?

Les autres lui répondirent.

Bordel grommela le cadavre.

Prenant de nouveau place, assis dans un coin du pont, il tenta de se souvenir de son nom. Sa mémoire lui revint aussitôt. Horus !!! Oui, il s’appelait Horus !
Ne nous tue pas noble démon se lamentèrent les pêcheurs, toujours plus terrifiés. Nous ne voulions pas te voler, ni t’importuner, nous…

Vos gueules, bande de buses gronda Horus tentant de se souvenir.

Il était mort, oui, ça il le savait. Il avait traversé le mur du temps et des âges. On l’avait assassiné alors qui voguait dans un bateau en route pour Adam…. Mais pourquoi…..
Se grattant la tête, Horus observa ses vêtements nobles, son pendentif de jade qui renfermait une petite photo.

C’est alors qu’il se souvint.

Je me nomme Horus Hazer Kaoshido déclara le cadavre aux marins, qui reculèrent. L’un d’eux se jeta à la mer.
Je viens de Tokyo, j’étais fils de militaire. Mon père était un être étrange, un héros mystérieux. Il abandonna ma mère bien avant ma naissance et elle mourut en couche, affaiblit par le chagrin.

Nous n’y sommes pour rien gémirent les marins. Horus les bouscula un peu pour se souvenir encore.

J’ai été élevé par mon grand père maternel, Asran. Descendant de la famille Mutsumi, le vieil homme m’a appris ma façon de vivre. Il m’a toujours dit que j’étais le fruit d’une union exceptionnelle. Une héritière de la famille Mutsumi et d’un noble guerrier Elmérien, un héros de guerre. Il m’a prédit un grand avenir et un grand pouvoir.

Laisse nous partir pleurèrent les marins encore à bord. Nous ne connaissons pas tes parents !

Grand père disait toujours que j’étais plutôt spécial poursuivit le mort. Je n’avais pas le droit de jouer avec les autres enfants. Je n’avais pas le droit d’avoir une vie normale et, dans la grande ville de Tokyo, j’étais enfermé dans les catacombes de notre manoir. Lorsque mon père a disparu, je me suis mis en tête de le retrouver pour connaître la vérité que mon grand père ne m’a jamais dites et je me suis enfui.

Le visage du cadavre s’éclaira soudain. Les pêcheurs crurent leur dernière heure arrivée. L’un d’eux pris un dégorgeoir et se suicida avec.

En faisant des recherches sur le passé de ma famille, j’ai appris que j’avais un demi frère, Zpyke. Je suis parti le retrouver sur Adam mais notre navire a été attaqué par des pirates, qui ne souhaitaient pas de témoins…

Cela fait combien de temps maintenant…Un an…

Le plus jeune des pêcheurs fronça les sourcils.

Mais mon seigneur…C’est impossible… Vous étiez mort, vous flottiez sur l’eau comme ça pendant tout ce temps. Un noyé, ça se gâte comme ça, les requins le bouffent et je ne vous parle pas des crabes.

Horus lui colla une baffe et le petit con fit trois tours dans son slip.

J’étais mort, imbéciles... Mais alors que j’errais dans les limbes. Elle m’a ramené. Je me souviens de tout. Tout comme Elle a toujours veillé sur notre famille, elle m’a offert le pouvoir d’accomplir mon destin et celui de ma famille..

Seulement maintenant, je ne suis plus vraiment un humain…

Comment cela ? s’inquiétèrent immédiatement les pêcheurs restant sur le chalutier, à présent dans la pénombre nocturne.

Pour revenir sur ce monde, afin d’accomplir ma tâche, j’ai réclamé certains pouvoirs et accepté certains désagréments…commenta simplement Horus…

Lorsque le bateau accosta Adam au petit matin, nul ne sait ce qu’il était advenu des pêcheurs. Dans la petite cuisine du bateau, la plus grande marmite chauffait encore et un grand pot au feu dégageait une odeur étrange…..

Je suis Pilip,

Je n'ai aucun nom. La seule chose dont je me souvienne, c'est mon Prénom. J'ai été retrouvé il y a un peu moins d'un an sur les rives du Diocèse de l'Inquisition. Je ne sais pas d'où je viens ni qui je suis. Parfois, j'ai des flashes: je revis des scènes de ma vie antérieur... J'ai parfois mal au crâne.
J'ai trouvé la Foi, je me suis alors converti au culte de la Grande Déesse.
Au début marchand dans ma ville adoptive, j'ai vite compris que le commerce n'était pas fait pour moi: berner les gens, amasser de l'argent sans raison... je trouve cela indéscent et sans raison d'être.

Je suis donc devenu magicien à la recherche du savoir pour le mettre à Son service.
Connaître qui j'étais avant ne m'intéresse pas. Si cela doit venir un jour, éh bien je ferai avec.

Et moi, je suis... qui?

La jeune fille se réveille sur le bord d'un chemin. Sa première pensée est un nom: Souti...

Souti? Qui est Souti? Sa tête lui tourne, ses pensées sont confuses... Est elle Souti? Non, mais sa dernière pensée a été pour lui... Même si elle sent confusément qu'elle ne connait pas cette personne...

De l'eau. Une énorme masse d'eau au dessus de sa tête... Une mer? Soudain elle comprend, elle est morte noyée. Cette nouvelle ne l'émeut pas outre mesure, ou alors elle le cache bien.

Mais qui est elle, ou plutot qui était-elle?

Les images d'un loup, d'une flèche et d'un espèce de gros chat s'imposent à son esprit. Avant qu'elle ait pu les analyser, une grosse main se pose sur son épaule. Puis plus bas.

Retrouvant un vieux réflexe de sa dernière envelloppe corporelle, elle envoie sa jambe dans la tête de l'homme et enchaine avec une boule de feu.

"La prochaine fois je ne serai peut être pas aussi accomodante", dit elle au-dessus du pauvre gars qui a la gueule en sang et le regard terrifié, citant son Dieu.

Il lui revient quelque chose de son passé, comme si le fait de reprendre ses anciennes attitudes lui réveillait la mémoire. Pour faire bonne mesure, elle envoie un grand Marcottage à l'homme encore à terre (sachant qu'un Marcottage est un coup de pied où je pense) et se souvient de son nom: Louve... Louve la Marchombre, elle était Louve la Marchombre.

Puisque c'est cet acte qui lui a permis de retrouver son ancien nom, elle se nommera désormais... Louve la violente.

Elle était Rodeuse et Elementaliste de Tyrie, à en juger par ses vêtements elle est désormais mage... Mais ou et quand?

Elle secoue le type comme un prunier pour le réveiller et lui demande: On est ou, là?

A Adam, dans la province de Central Dogma... Non, s'il vous plait, ne me tuez pas!

Louve le fait taire d'une claque. Adam? Jamais entendu parler. C'est loin de la Tyrie?
Le type ouvre des yeux ronds mais n'ose pas répondre qu'il n'en sait rien. Ce qui fait hurler Louve de dépit.

"Tu vas parler, tu vas parler, vermisseau! En quelle année sommes nous?"

Le type, la voix éteinte, lui répond. Génial, ces gens utilisent un calendrier qui lui est inconnu.

Finalement, Louve, exédée par ses braillemnts qui lui font penser à ceux d'un boeuf de Bourne, l'assome.

Question ? Qu'est ce qu'un Boeuf de Bourne ami lecteur ?

Et bien un boeuf de Bourne est un boeuf couillu du pays de Bourne ou on engraisse les boeufs comme des oies pour faire du foie de boeuf gras et aussi tout plein de choses marrantes avec un boeuf obése. Forcément, ces boeufs là sont des cas sociaux, très antipathiques....

Bon bref...

Et donc Louve toute pas contente entre dans la ville, se préparant à accomplir son nouveau destin d'Initiée...

Et là elle croise quelqu'un qui lui est familier... Elle doit faire vite, se rappeler, déjà les limbes du passé emportent sa mémoire...

Il porte un habit de juge, mais on le sent né soldat...

Et soudain, elle sait...

C'est...!

{HRP: cette dernière phrase t'es destinée, maitre d'armes de mon coeur. Vu que c'est toi qui m'as fait découvrir Kra, je te remercie... à ma façon!}

Mais c'est mon maitre d'armes Horus se dit Louve.

En fait non... quelle idée?

Si! c'est mon maitre d'armes et ce ne sont pas les anges qui me feront oublier ça!

C'est pas ton maitre d'armes, idiote... c'est...

C'est pas mon maitre d'... SI!

C'est ton frère...

C'est mon...? mais...

C'est quoi cette histoire, Horus n'a jamais été mon frère!

Maintenant c'est le cas.

Bordel grommela Louve. Deux réalités opposées s'instillaient dans son esprit et se faisaient face... Elle avait beau lutter, ses souvenirs de sa vie précédente lui échappaient... Comme happées par une gouttière...

Des images nouvelles se formaient dans son esprit...

Je suis une semi-elfe, je ne permettrai à personne de me faire croire des choses!

Tu l'étais. Maintenant arrête de t'agiter et regarde toi. Tu es morte rodeuse brune, tu te réveilles initiée blonde. Tu t'es réincarnée, c'est pas si grave, si?

Et bah... Si.

Mais quelle insolente cette fille... Je te verrais bien en O'Neill la prochaine fois... Qui c'est qui a eu l'idée de te faire revivre ta vie passée? Que je le retrouve et il passera un mauvais quart d'heure...

Je suis aparu a l'aube de ma majorité dans la ville d'Elision, alors en pleine création. Et c'est tout ce que vous avez à savoir sur avant. Des parents, j'en ai eu, et Seeliens en plus. Mais pour une raison X ou Y, j'ai décidé de quitter le foyer familial et d'abandonner mon nom.

J'ai erré pendant quelques temps, sans joie ni tristesse. J'ai vivoté ainsi quelques temps, qu'il m'est impossible de calculer. J'étais alors une coque vide, sans âme. Une loque, gâchant par sa seule présence les naissants jardins suspendus de Nerv. Ce fut une période bien sombre de ma vie, plus sombre encore que ce qui me parait aujourd'hui être une vie antérieure, à l'époque où j'étais encore un garçon aimé, un garçon comme les autres.

Je dormais dans les chantiers, chassé au matin par des ouvriers pris de Sainte Pitié et qui n'osaient me dénoncer. Je n'éprouvais aucune colère d'être ainsi renvoyé à mon errance. Ni aucune gratitude pour n'être pas puni. Je ne ressentais rien. Je me nourissais des petits animaux, insectes et d'herbe grasse, comme un animal. Comme un Mouton.

Ma survie fut, à bien des egards, un miracle. Sous alimenté, sous le froid, la pluie, le soleil, toujours sous le coup d'une arrestation pour squattage, etc...

Un soir particulièrement pluvieux, le chantier que je considerais comme ma tanière fut innondé. Même apathique comme je l'etais, même privé de l'instinct de survie qui caractérise même le plus stupide des animaux, je ne pouvais passer la nuit dedans. Alors, comme les insectes, je fut irresistiblement attiré par la lumière. De toute cette période, je garde un souvenir trouble, voilé. Mais cette image me reste, et me reviens souvent la nuit, dans mes plus beaux songes comme dans mes pires cauchemards. La basilique d'Elision, a peine terminée, eclairant d'une lumière crue les environs. Comme une invitation à entrer.

Et, amorphe, j'entrais. Je fut acceuilli, nourri, soigné. Lorsque je me reveillais, un homme, en tenu de Prêtre, me demanda qui j'etais. Je ne voulais le dire, je ne pouvais le dire. Je ne savais d'ailleurs plus parler! Voyant mon agitation, il me lut des versets des évangiles. Je me rendormis au doux son des paroles sacrées.

Lorsqu'à nouveau je me reveillais, j'étais seul. Je cherchais l'homme, pour lui parler, pour lui expliquer. Mais il n'était plus là.

Je voulais le voir, car j'avais enfin tout compris. J'avais compris! Cet homme m'avait rendu la vie. Je decidais de suivre son exemple, et de devenir à mon tour Prêtre.

Il fallait me choisir un nom. Le choix ne fut pas compliqué. Mouton Bleu, Mouton, car c'est ce que je fut entre mon départ et la Révélation. Bleu, car c'est Sa couleur.

Cybermonde! Bientôt, il faudra compter avec le Mouton Bleu! Pour l'Homme, pour la Seele et par dessus-tout pour Elle!

Si un jour vous avez des indices pour trouver mes parents, faite le moi savoir hein?!

Bonjour, à tous, je suis Bruce Campbell, le frère jumeaux de Brad Pitt en bôcoup plus bô.

Mon métier.... bah j'en ai pas

Mes objectifs: venger la mort de mon frère de la mouette tueuse.
montrer à tous le monde que je suis le "betteur" entarteur du cybermonde
bah comme mon, prouver que je suis le plus bô mais comme mon frère est mort, la tâche me paraît plus simple

voili voilou. Le premier qui m'entarte, je l'entarte à nouveau.


edit: changement d'histoire ^^

L'on me nomme Okitao, dit "Le Demon".

Quand j'etais petit j'ai tué mes parents et le reste de ma famille parceque je suis possédé par un demon et et... Haha n'ayez pas peur.. ce n'etait qu'une boutade.

[HRP] Bien, je reprend, serieusement.[/HRP]
L'on me nomme Okitao, dit "Le Corbeau".

Je suis né dans une famille...aisée, mon pere etait Alchimiste, ma mère etait pharmacienne.. et moi j'etais leur enfant sacré unique... la vie etait belle, etait rose. Puis j'ai grandit dans une famille aimante... BlaBlaBla... Puis à l'age du passage au monde adulte, mes parents on cru bon d'utiliser la meme methode que pour eux, à savoir: Me mettre à la porte pour que j'apprene à vivre de mes propres moyens.

Mais ils n'avaient pas songé qu'il y avait entre eux et moi une difference. ils etaient dans une famille qui les faisaient travaillés, qui les preparaient à la vie. Alors que moi je futs un enfant assisté, je n'avais rien à faire ils faisaient tout pour moi.

Si je me devais vous dire tout ce que j'ai fait, je crois que jamais je ne monterais dans votre estime, je resumerais donc les faits par, clandestin pour venir jusque Tokyo3/Diocese de l'inquisition, et aujourd'hui... Je tente de survivre comme je peux.

Aujourd'hui je souhaite servir ma province, je suis devoué aux Inquisiteurs (j'avoue l'on m'y à forcé... un jour peut-etre je vous raconterais tout...)

et euh.. bah voila pour le moment.

[HRP] si vous en voulez plus, ou que cela ne vous convient pas, n'hesitez pas à me mp. J'avoue que je ne me suis pas foulé pour mon BG (Je suis joueur de JdR Papier, je peux faire mieux, mais j'ai vraiment la flemme pour le moment de faire plus, pardon xD).

Sinon euh, texte truffé de fautes, une mauvaise habitude chez moi, mais j'essaye de me relire et changer ce que je peux xD.

Voila voila.[/HRP]

Lavande : A part le hrp, c'est très bien ^^ On demande à personne d'avoir un BG super précis ... d'autant plus au début, et encore plus du fait qu'n BG trop précis peut bloquer dans le jeu, vu les interactions importantes avec les autres. C'est bien d'avoir un passé, de pouvoir dire d'où on vient ou ce dont on a envie. Mais l'essentiel est d'interagir avec les autres ^^ Sois le bienvenu.

Né à Cap Kranaveral en Confédération libre, le petit Jant a évolué dans une famille, certes aisée, mais aux idées bien arrêtées. Ses parents, de petits commerçants, faisaient vivre la famille grâce à l’auberge qu’ils tenaient.
Son père, une homme ma foi fort bien bâti, avait une façon assez pavlovienne d’appréhender toute chose. En effet, pour ce brave commerçant, il était acquis qu’une baffe bien sentie permettait au cerveau de tout individu d’intérioriser profondément une information donnée.
Bien qu’il s’abstenait généralement de s’adonner à de telles pratiques sur sa clientèle, il n’en était pas de même sur sa progéniture. En effet, ce sympathique personnage mettait un point (ou poing) d’honneur a transmettre tout son savoir à sa descendance … Et Dieu sait qu’il était érudit.
Sa mère n’était pas non plus la plus finaude des femmes qui ait jamais foulé la terre de la province de Cap. En effet, la moindre tentative de phrase imagée était vouée à l’échec avec cette brave femme. A cela s’ajoutait le fait que pour elle il fallait toujours soigner le mal (ou le mâle) par le mal (ou encore le mâle mais ces propos n’engagent que ceux qui les profèrent). Ainsi lorsque le petit Jant avait le malheur de se plaindre/pleurer/avoir la joue rouge des suites d’une tentative d’enseignement de la par de son père, sa chère et tendre mère en remettait une couche et s’appliquait à obtenir la symétrie des rougeurs faciales de son fils.
Afin de parfaire ce petit tableau, il faut bien évidemment ajouter que Jant avait également un frère aîné et une sœur cadette. Cela avait d’ailleurs une conséquence directe sur la vie de ce pauvre garçon car ses parents avaient pour habitude de confier les tâches ménagères de la façon suivante : « Ohhh, les 2 petits, y a une vaisselle à faire. » et « Quant au 2 plus grands, qu’ils aillent tondre la pelouse ». Cela faisait à Jant de longues journées.

C’est donc dans cette ambiance d’allégresse à peine masquée que le petit Jant passa son enfance et son adolescence. Frappé (pour une fois, c’est un figuré et pas dans la figure) d’une acné des plus prolifique dés l’âge de 14 ans, Jant connut les joies de la vie de martyr de classe ; essayant les « face de calculette » et les « Franchement, tu pourrais pas faire un don à la ligue braille ? » durant toute sa scolarité.

Bref, tous les éléments étaient réunis pour que notre bon Jant (ou Jant bon) nous fasse une crise d’adolescent pas piqué des hannetons. Et c’est d’ailleurs ce qu’il fit.
Un beau jour, il décida de tout plaquer. Il réunit un soir tout son argent de poche et décida de prendre la premier bateau qui partirait du port.
Et le (la) Destin/Hasard/Grande Déesse (rayez la mention inutile) fit que Jant embarqua sur un bateau pour Ker’keneil, en Négaverse en Théocratie Seelienne.

Le voyage fut long, et Jant découvrit qu’il avait le mal de mer (et aussi que les spaghettis ça mettait du temps à digérer). Néanmoins, il arriva à Ker’keneil en un seul morceau (exception faite de tous les petits morceaux qu’il avait régurgité, mais c’est sale et on ne s’étendra pas sur le sujet). Après une bonne cuite comme il se doit, Jant réalisa qu’il n’avait pas de moyen de subsistance … Aussi, dut il se mettre à travailler.

Assez vite, son talent pour le commerce lui permit d’acquérir une petite bijouterie à Ker’Keneil La perle rare. Très vite, il s’intéressa à la gestion de la ville et fut bientôt nommé Directeur De Production de Ker’keneil.